Magali est en stage
Magali en Argentine
Je peigne des lamas

Derniers commentaires publiés :

Youki, des nouveaux articles!
le dimanche 03 octobre 2010 par Goniol

Youki, bonne dernière journée dans la province de Jujuy!
le dimanche 15 août 2010 par Goniol

Mais je suis quand même contente de rentrer et de retrouver tout le monde, t'inquiète pas !!! Profite bien de la fin des vacances, et on se retrouve début septembre ! Bisous bisous !!!
le vendredi 13 août 2010 par Magalette

et bah avec tout ça je comprend bien que tu n'aies pas envie de rentrer ca a l'air drolement sympa ! profite bien !!! gros bisoux !!
le jeudi 12 août 2010 par AC

C'est magnifique, superbe, impressionnant ! merci pour toutes ces photos ! ça fait vraiment vraiment rêver !!
A bientôt :)

le dimanche 08 août 2010 par Morgane

ET le bruit, le BRUIT à Iguazu est incroyable! Pas étonnant qu'il y ait un endroit appelé "le trou du Diable" (ou le trou du Diable?) là-bas!
le dimanche 01 août 2010 par Cécile V.

Youki! Du rattrapage dans les articles!
Je craignais un peu qu'on n'ait pas la fin de ton séjour argentin (Ah.... L'amour!). La suite, la suite, la suite.
Bisous Fécampois! (avec des galets)

le vendredi 16 juillet 2010 par Goniol

Pas de news depuis plus d'un mois, mais aue se passe-t'il? ("Mai ke se passt-iiil? Mais kes-ki sepass'?" disent les Inconnus immitant des japonais)
Salutations de Coree! (On dit "jagbyeol insa")

le dimanche 27 juin 2010 par Cecile V.

waou trop la classe les gauchos a cheval !
le mercredi 02 juin 2010 par AC

Hé hé, je me doutais bien que ce n'étais pas un anonymat criminel ! Et je compatis pour la blondeur, la mienne se manifeste un peu trop souvent en ce moment ! Grrrr....
Bisous aux auvergnats ! (mais aux autres aussi !)

le mardi 01 juin 2010 par Magalette

Bienvenue au Far West !!!
le samedi 24 juillet 2010
Aujourd’hui, un ami de César qui est éleveur nous a invité à sa marcada annuelle, autrement dit la journée où il marque au fer rouge tous les animaux nés dans l’année. Le système des boucles dans les oreilles existe pourtant ici aussi, mais ça n’arrête pas les voleurs qui se contentent de les arracher, d’où la marque au fer rouge, un peu plus indélébile !
Nous voilà donc partis dans le « campo », L’ami de César, Julio, est déjà dans le corral dans sa tenue de gaucho. Pour les marcadas, n’importe qui peut venir donner le coup de main et est récompensé par un bon asado généralement préparé par l’épouse de l’éleveur. Il y a donc pas mal de gauchos présents, donc la plupart attendent leur tour à l’extérieur : il n’y a jamais plus de 4 ou 5 hommes à la fois dans le corral. Pour notre part, César et moi demeurons spectateurs car ni l’un ni l’autre ne savons manier le lasso. Et oui, car une fois dans le corral, c’est bien de ça qu’il s’agit : attraper les veaux au lasso, et croyez moi ça n’a pas l’air d’être une mince affaire !!!

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César qui pose devant les vaches et taureaux adultes

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En tout cas, le spectacle est fort divertissant, on se croirait vraiment au Far West (bien que les tenues de gauchos soient un peu différentes des tenues de cow-boys, il y a quand même des points communs). Ils sont donc 4 ou 5 à attraper les bêtes, mais l’étape de marquage en elle-même reste la prérogative du propriétaire, le pauvre Julio court donc un peu partout !!
En fin de matinée, la femme, la fille et les parents de Julio arrivent dans une camionnette bourrée jusqu’à la gueule : il y a dedans tout ce qu’il faut pour préparer un asado assez copieux pour rassasier la quarantaine de personnes présentes !!!
Histoire de ne pas être venus seulement pour regarder, César et moi commençons à donner le coup de moi, moi pour la salade et lui pour l’asado… le pauvre finira au final par s’en occuper, et à peu près 20 kg de viande à griller, c’est bien crevant ! Mais le résultat n’est pas décevant : la viande est délicieuse (comme toujours ici, je ne sais pas pourquoi ça me surprend encore !!).
En fin d’après-midi, le marquage reprend, et ce jusqu’à la tombée de la nuit : il faut se dépêcher de terminer, car de nuit ça devient compliqué de choper les petits veaux !! Une fois tout terminé, une bonne partie des gens venus assister à la marcada repartent, mais nous autres allons prendre le repas à la ferme de Julio, qui est un peu plus loin. Au menu : restes de l’asado, toujours aussi délicieux ma foi !!
Une journée absolument géniale où j’aurais découvert une nouvelle tradition des gauchos !!!

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La Pucara de Tilcara
le vendredi 09 juillet 2010
Aujourd’hui nous partons visiter Tilcara, village hautement touristique de la Quebrada. Les parents et moi faisons un tour sur la place centrale et de ses nombreux artisans pendant que César fait changer sa roue, crevée une fois de plus (ça fait bien 4 ou 5 fois depuis le début de la semaine !). Quand il nous rejoint, nous terminons le tour de la place avant d’aller manger quelques empanadas et un locro sur la terrasse d’un resto bien sympa. La difficulté est de choisir entre s’asseoir à l’ombre, où il fait froid, ou s’asseoir au soleil où il fait trop chaud !! C’est le dilemme éternel de la Quebrada !
Après ça nous décidons d’aller visiter la Pucara : les ruines de l’ancienne ville fortifiée. Nous commençons par nous balader un peu dans le jardin botanique au pied de la Pucara. Outre les divers arbres, fleurs et cactus, il y a une énorme pierre exposée : c’est une phonolithe, et quand on tape dessus avec une autre pierre, ça fait un bruit de cloche, c’est rigolo !!
Un peu plus loin il y a quelques enclos avec des lamas et leurs petits tekis, c’est tout mignon ! Puis nous visitons enfin la Pucara en elle-même, qui est fort jolie. Il y a malheureusement au sommet un moche monument récent construit par les découvreurs du site… bienvenue au pays du mauvais goût !
Pour finir la journée en redescendant vers San Pedro, nous faisons une petite pause à Maimara pour quelques ultimes photos de la palette du peintre. En repartant du village, nous croisons aussi un groupe de gauchos à cheval.

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Le jardin botanique et ses cactus

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Vue sur la pucara depuis le jardin botanique

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Un pequeño tekis !

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La pucara et ses énormes cactus qui témoignent d’une très ancienne occupation humaine

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C’est quand même trop choupi…

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La palette du peintre à Maimara… on ne s’en lasse pas !

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Les gauchos

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Purmamarca y las Salinas Grandes
le jeudi 08 juillet 2010
Maintenant que l’exam de César est passé et qu’il a un peu plus de temps, nous partons pour une expédition plus longue que les précédentes ! J’avais depuis longtemps prévu d’aller visiter les Salinas Grandes, mais sans voiture perso, c’est difficile car aucun bus ne va jusque là-bas ! Du coup c’est l’occasion ou jamais, et puisque c’est sur la route, on visitera avant Purmamarca, que les parents ne connaissent pas encore. Nous voilà donc partis, et nous chopons au passe Marine à l’arrêt de bus de Lozano, car elle non plus ne connaît pas les Salinas Grandes.
A Purmamarca, on commence par prendre quelques photos avant l’entrée du village, car c’est de là qu’on a la meilleure vue sur la montagne des 7 couleurs : ça tombe bien car c’est justement ce que je n’avais pas pu faire quand j’étais venue toute seule, car en bus difficile de faire des pauses photos quand on veut !

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Ensuite nous faisons le Paseo de los Colorades, toujours aussi magnifique, il n’y a pas à dire ! Il y a malheureusement un peu trop de touristes porteños, car ce sont déjà les vacances d’hiver à Buenos Aires (oui, les vacances d’hiver en juillet ça perturbe, mais c’est bien ça !).

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Après cette balade, nous partons en quête d’un endroit où nous sustenter. Nous trouvons un resto au cadre sympa et au pain maison délicieux (rare en Argentine !), mais où le service est trèèèèèèèèèèèèèès long : c’est dommage car on a encore pas mal de route pour aller jusqu’aux salines !
César me dit en rigolant d’emmener le reste de pain tellement il est bon, mais moi-même pas peur, je le prends au mot : ça nous fera un goûter !!!
Après ça nous reprenons vite la route. Pour aller aux Salines, il faut d’abord grimper la Cuesta de Lipan : une route en lacets qui monte, monte, monte jusqu’à passer un col à plus de 4000m d’altitude. La route est très belle, et on finit par arriver en vue des salines : impressionnant ! Et plus on se rapproche, plus c’est impressionnant ! On commence à traverser cette immense étendue de sel jusqu’à arriver à une maison construite en plein milieu, et dont les briques sont en sel !!

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La cuesta de Lipan

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Les salines, de loin

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Je fais mumuse avec un lama en sel

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La maison en sel

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des briques de sel

Delà nous nous écartons un peu de la route pour prendre la photo traditionnelle des élèves de l’Agro indiquant la distance entre le lieu de césure et Grignon :

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Grignon-Jujuy : 10 600 km !!!

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L’exploitation du sel…

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Après ça nous reprenons la route vers San Pedro, avec escale à Jujuy le temps d’y déposer Marine et de faire le plein de gaz.

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Musée géologique
le mercredi 07 juillet 2010
Comme aujourd’hui César a son examen, nous le laissons étudier toute la journée tranquillement : les parents et moi partons en bus à Jujuy, avec pour objectif de visiter un peu la ville, que les parents ne connaissent pas encore ! Grâce au Guide du Routard, maman a pu organiser un peu la journée en fonction des horaires d’ouverture des différents musées et églises. Nous commençons donc par le musée de géologie, ouvert seulement le matin.
C’est un très chouette musée, qui fait en fait partie de la faculté de géologie. Il y a pleins d’explications très bien faites, qui conviennent à la fois pour des novices que pour des connaisseurs. Et puis il y a plein de minéraux magnifiques, donc une bonne partie viennent de la région : il faut dire qu’il y a du potentiel !!! Ça permet d’ailleurs d’attribuer certaines couleurs à des minéraux particuliers. Par exemple, le fameux jaune que l’on rencontre souvent dans la Quebrada, c’est du soufre !
Après ce musée, je laisse les parents se balader tous seuls en ville : pour ma part j’ai 2-3 choses à faire sur Internet, puis je dois faire une expédition à Lozano pour récupérer les dernières affaires que j’y avais laissées. Bref, j’avais prévu de rejoindre ensuite les parents pour les guider un peu dans la ville, mais finalement tout ça me prend toute l’après-midi. Le soir, après que j’ai rejoint les parents, nous retournons manger au resto « Las Manos Jujeñas », qui avait vraiment plu aux parents. Je quitte les parents un peu vite à la fin du repas pour aller chercher César à la sortie de la faculté : c’est bon, il a réussi son exam !!! De là, nous repartons à pied vers le terminal de bus pour rentrer à San Pedro. Au terminal on se rend compte qu’on va prendre le même bus que les parents, qui n’ont finalement pas réussi à avoir le précédent !

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Parque Calilegua
le mardi 06 juillet 2010
Au nord de San Pedro il y a un grand Parc National, paraît-il très joli, le Parc Calilegua. Il a en plus l’avantage d’être relativement près de San Pedro, et comme César doit encore bosser son exam de demain, ça nous arrange de faire aujourd’hui une sortie assez courte donc assez proche.
Quand on arrive à l’entrée du Parc, pas de bol, aujourd’hui les gardes-parcs sont en grève !!! Du coup nous entrons gratuitement, mais par contre nous ne pourrons pas nous faire accompagner par un guide, ce qui est dommage !
C’est un parc immense traversé par une route que l’on peut parcourir en voiture, et d’où partent plusieurs sentiers que l’on peut faire à pied. Nous commençons par un premier sentier à pied. En revenant à la voiture, on voit qu’une voiture du parc est garée juste à côté. Et le garde-parc, en grève, est venu se balader avec sa copine. Du coup César discute un peu avec lui et le garde-parc promet de nous laisser des petits dépliants explications dans une boîte à l’entrée du parc : sympa !
Nous voilà donc repartis en voiture sur la route en terre rouge qui monte, monte, monte, dans des paysages de type forêt tropicale. C’est chouette, mais finalement nous ne ferons pas d’autre sentier à pied, par manque de temps.

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Petite photo de groupe !

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La vegetation du parc

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La maison des gardes-parcs

Sur la route du retour, nous passons par la ville de Libertador (en entier, Libertador General San Martin) où se trouve l’usine de Ledesma : la 3ème plus grande sucrerie du monde !! Nous en faisons le tour, c’est assez impressionnant ! Il y a des montagnes de bagasse tellement énormes qu’il ya des espèces de chemins pour que les tracteurs puissent monter déverser la bagasse en haut ! Le seul truc ballot, en particulier pour les gens qui habitent et/ou travaillent ici, c’est l’odeur absolument putride de la bagasse pourrissante !!

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Serranias del Zapla
le lundi 05 juillet 2010
Ce matin nous partons avec César à Serranias del Zapla, à une trentaine de km de San Pedro, en direction de Jujuy. C’est un endroit où il y avait des mines d’extraction de fer, qui ont fermé il y a un moment déjà, et du coup toute la ville qui s’était installée autour, pour loger les ouvriers, etc. s’est complètement désertifiée. Mais ça reste un endroit chouette à visiter, et depuis quelques années, le site est petit à petit réhabilité à vocation touristique.
Nous faisons une pause dans la première mine. Il reste de grandes structures en acier, mais à part ça la nature a repris le dessus. Il fait un temps magnifique, mais on se dit que de nuit, c’est un décor parfait pour tourner un film d’horreur !!!

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Puis nous continuons notre route jusqu’à l’ancienne ville minière où nous laissons la voiture pour nous balader à pied dans la ville et nous aventurer dans une des mines.

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Une petite vue de la ville de Palpala depuis Serranias des Zapla

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Après notre petit tour dans pique-niquons tranquillement dans l’herbe. Après ça nous repartons pas trop tard car César a un examen mercredi et il doit réviser un peu ! Pour le retour, au lieu de la route principale, nous prenons l’ancienne route, moins rapide mais plus sympa, et sur laquelle on peut vivre une expérience… pour le moins étonnante, à moins de connaître le tuyau, car il n’y a pas de panneaux indicatifs ! D’ailleurs César a un peu de mal à retrouver l’endroit exact, car il y venait petit avec son père mais ça fait très longtemps qu’il n’y était plus venu. On trouve enfin la portion de route, vaguement indiquée par deux traits de peinture jaune au sol. Vous vous demandez toujours quelle est la curiosité en question ???? Et bien sur cette portion de route en côte, si vous vous mettez au point mort, la voiture monte toute seule !!! Difficile à croire tant qu’on ne l’a pas vu mais pourtant vrai, et assez impressionnant, car la voiture monte assez rapidement même avec quatre personnes dedans !!! Comme c’était vraiment amusant, on l’a bien fait 3 ou 4 fois, puis on a continué, mais sans avoir résolu l’énigme cruciale : comment ça marche ??? (là j’en appelle au savoir infini de mon beauf David…)

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